Une PAC utilise jusqu’à 70% d’énergie disponible gratuitement. Ses coûts d’exploitation et d’entretien sont faibles, elle valorise votre bien immobilier et vous donne droit à des subventions.
Cette solution se combine aisément à d’autres énergies renouvelables, comme le photovoltaïque. La durée de vie de l’installation est élevée, c’est donc un investissement propre et à long terme.
Pour obtenir autant de chaleur, une PAC consomme jusqu’à cinq fois moins d’énergie qu’un chauffage électrique, tout en fournissant en eau chaude. Avec la bonne installation au bon endroit, son rendement est remarquable.
Il s’agit d’une solution réellement écologique exploitant une énergie 100% locale et renouvelable. Neutre en CO2, elle ne génère aucune émission, quel que soit son type (PAC air-eau, eau-eau ou sol-eau).
Convenant aux bâtiments neufs ou rénovés
de toutes tailles et types, l'installation est beaucoup moins encombrante qu'une installation au mazout. Elle peut même se
servir de votre chauffage au sol pour le refroidissement de l’habitation.
Aujourd’hui, la PAC est une technologie développée sur laquelle vous pourrez compter longtemps, avec une durée de vie de 17 ans en moyenne pour les installations actuelles.
Faut-il abattre des arbres pour produire le pellet ? Absolument pas !
Aucun arbre n’est abattu car plus de 90 % du pellet est produit à partir de bois endommagé et de déchets de l’industrie du bois. Il s’agit d’une économie circulaire régionale et respectueuse du climat.
Modèle classique, à condensation ou avec silo, une chaudière à pellets est un véritable chauffage central qui se combine parfaitement avec des systèmes de panneaux solaires thermiques pour augmenter la rentabilité à long terme. Le type de bâtiment, neufs ou rénovés, et vos besoins déterminent le modèle adapté.
Les pellets ne sont pas chers, les coûts d’exploitation et d’entretien sont faibles. Des subventions (communales ou cantonales) sont disponibles pour les installations à partir de 800m d’altitude.
Le chauffage à pellets se combine aisément à d’autres énergies renouvelables, comme les panneaux solaires thermiques. La durée de vie de l’installation est élevée, c’est donc un investissement propre et à long terme.
Malgré leur faible prix, les pellets ont un très haut pouvoir calorifique. Le taux de rendement de la technologie la plus basique est déjà estimé à 90%, et celui d’une chaudière à condensation dépasse 100%.
La technologie est globalement écologique. D’origine régionale, les pellets sont constitués de résidus de bois, un combustible neutre en CO2 et durable.
L’installation convient à des bâtiments neufs ou rénovés de toutes tailles et types. Elle n’encombre pas davantage qu’une installation à mazout. Les radiateurs ou chauffage au sol déjà en place peuvent continuer à être utilisés.
Un silo, disponible en option, peut contenir jusqu’à une année de pellets. Il alimente et gère automatiquement le fonctionnement de la chambre de combustion, s’adaptant aux besoins du foyer.
C’est assez incroyable d’imaginer que l’air froid de l’hiver peut servir à chauffer votre habitation. C’est pourtant bien ce que permet de faire une pompe à chaleur en utilisant l’énergie thermique présente dans l’air ambiant.
Elle peut tout à fait chauffer votre habitation et votre eau sanitaire, même lorsque la température extérieure descend jusqu’à – 20°C.
Ce type d’installation nécessite moins de travaux de construction par rapport aux autres modèles. Trois méthodes d’agencement sont proposées, à savoir : la pose en intérieur, la pose à l’extérieure ou la pose fractionnée.
Les pellets ne sont pas chers, les coûts d’exploitation et d’entretien sont faibles. Des subventions (communales ou cantonales) sont disponibles pour les installations à partir de 800m d’altitude.
Le chauffage à pellets se combine aisément à d’autres énergies renouvelables, comme les panneaux solaires thermiques. La durée de vie de l’installation est élevée, c’est donc un investissement propre et à long terme.
Malgré leur faible prix, les pellets ont un très haut pouvoir calorifique. Le taux de rendement de la technologie la plus basique est déjà estimé à 90%, et celui d’une chaudière à condensation dépasse 100%.
La technologie est globalement écologique. D’origine régionale, les pellets sont constitués de résidus de bois, un combustible neutre en CO2 et durable.
L’installation convient à des bâtiments neufs ou rénovés de toutes tailles et types. Elle n’encombre pas davantage qu’une installation à mazout. Les radiateurs ou chauffage au sol déjà en place peuvent continuer à être utilisés.
Un silo, disponible en option, peut contenir jusqu’à une année de pellets. Il alimente et gère automatiquement le fonctionnement de la chambre de combustion, s’adaptant aux besoins du foyer.
Qu’y a-t-il à partir de 15 mètres de profondeur dans le sous-sol ? Une chaleur constante et disponible été comme hiver ! C’est avec une pompe à chaleur que l’on peut transformer cette énergie thermique en chauffage pour une habitation.
Cette installation nécessite d’envoyer un mélange d’eau et d’antigel, appelé glycol, de 50 à 350 mètres sous terre. Pour cela il est nécessaire de réaliser un trou de forage supposant une autorisation préalable.
Les pellets ne sont pas chers, les coûts d’exploitation et d’entretien sont faibles. Des subventions (communales ou cantonales) sont disponibles pour les installations à partir de 800m d’altitude.
Le chauffage à pellets se combine aisément à d’autres énergies renouvelables, comme les panneaux solaires thermiques. La durée de vie de l’installation est élevée, c’est donc un investissement propre et à long terme.
Malgré leur faible prix, les pellets ont un très haut pouvoir calorifique. Le taux de rendement de la technologie la plus basique est déjà estimé à 90%, et celui d’une chaudière à condensation dépasse 100%.
La technologie est globalement écologique. D’origine régionale, les pellets sont constitués de résidus de bois, un combustible neutre en CO2 et durable.
L’installation convient à des bâtiments neufs ou rénovés de toutes tailles et types. Elle n’encombre pas davantage qu’une installation à mazout. Les radiateurs ou chauffage au sol déjà en place peuvent continuer à être utilisés.
Un silo, disponible en option, peut contenir jusqu’à une année de pellets. Il alimente et gère automatiquement le fonctionnement de la chambre de combustion, s’adaptant aux besoins du foyer.
Que nous inspire la couleur bleue de l’eau ? La fraîcheur bien entendu ! Elle n’en est pas moins une source d’énergie efficace pour se chauffer car une pompe à chaleur transforme l’énergie thermique qu’elle contient.
La pompe à chaleur Eau/Eau, nécessite de puiser de l’eau souterraine ou de surface pour être ensuite restituée sans altérations (pureté, température). Grâce à sa température moyenne relativement élevée, supérieure à 10°, il est donc possible de se chauffer efficacement toute l’année sous réserce d’avoir fait une demande d’autorisation au préalable.
Faut-il abattre des arbres pour produire le pellet ? Absolument pas !
Aucun arbre n’est abattu car plus de 90 % du pellet est produit à partir de bois endommagé et de déchets de l’industrie du bois. Il s’agit d’une économie circulaire régionale et respectueuse du climat.
Modèle classique, à condensation ou avec silo, une chaudière à pellets est un véritable chauffage central qui se combine parfaitement avec des systèmes de panneaux solaires thermiques pour augmenter la rentabilité à long terme. Le type de bâtiment, neufs ou rénovés, et vos besoins déterminent le modèle adapté.
Les pellets ne sont pas chers, les coûts d’exploitation et d’entretien sont faibles. Des subventions (communales ou cantonales) sont disponibles pour les installations à partir de 800m d’altitude.
Le chauffage à pellets se combine aisément à d’autres énergies renouvelables, comme les panneaux solaires thermiques. La durée de vie de l’installation est élevée, c’est donc un investissement propre et à long terme.
Malgré leur faible prix, les pellets ont un très haut pouvoir calorifique. Le taux de rendement de la technologie la plus basique est déjà estimé à 90%, et celui d’une chaudière à condensation dépasse 100%.
La technologie est globalement écologique. D’origine régionale, les pellets sont constitués de résidus de bois, un combustible neutre en CO2 et durable.
L’installation convient à des bâtiments neufs ou rénovés de toutes tailles et types. Elle n’encombre pas davantage qu’une installation à mazout. Les radiateurs ou chauffage au sol déjà en place peuvent continuer à être utilisés.
Un silo, disponible en option, peut contenir jusqu’à une année de pellets. Il alimente et gère automatiquement le fonctionnement de la chambre de combustion, s’adaptant aux besoins du foyer.